ArbaA

La musique d’arbaa invite à la transe dans des compositions hypnotiques où les boucles s’enchevetrent portées par une groove puissante et chaloupée.
Les influences revendiquées d’arbaa vont de l’afrobeat à la transe gnawa, en passant par la musique répétitive contemporaine et le « zen-funk » de Nick Bartsch ronin. Le son résolument rock du quartet amène un caractère original et une énergie qui n’est pas sans rappeler l’esprit mystique et expérimentateur qui soufflait sur la musique des seventies.

Benoît Black : Saxophones
François Reme : Fender Rhodes, MS-20
Clément Black : Batterie
Mathieu Picard : Basse

Presse / Liens :

«Fusible» fait littéralement péter les plombs, rend fou. Sous ses airs de jazz épuré, ArbaA signe une séance d’hystérie mentale, avec son mélange d’influences diverses et parfaitement digérées. Virevoltante, tourbillonnante, la musique d’ArbaA ne se veut ni démonstrative ni intellectuelle, pourtant elle fait réfléchir et pousse le populaire à se mêler au savant dans des boucles sans fin, habiles. Boris Vian disait « La mort n’est pas drôle parce qu’elle ne supporte pas la répétition », la musique d’ArbaA se paye ce luxe aisément.
Chromatique.net Avril 2015

La musique d’ArbaA est un rite, une messe hypnotique dont on ne ressort pas comme on est venu. Nous parlons d’expérience chamanique, de transe spirituelle, de tourbillon spatio-temporel. Nous parlons ici de pilule rouge. L’alliage jazz/rock/musique contemporaine fonctionne ici à plein, ajoutant à la recherche et à la déviance maitrisée, une puissance vraiment pas mal venue.Le voyage terminé, nous rentrons, lessivés, ébahis, convaincus que la vie n’aura plus vraiment la même teinte. Parce que, comme d’habitude, la vérité est ailleurs.
KIBLIND